Dernière mise à jour le 23 mai 2014
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vendredi 23 mai 2014

Site multimédia de l’histoire forestière de l’Outaouais

La Commission régionale sur les ressources naturelles et le territoire public de l’Outaouais (CRRNTO) et la Société d’histoire forestière du Québec (SHFQ) sont fières de mettre en ligne le premier site multimédia bilingue (anglais et français) entièrement conçu pour les enseignants et les élèves de niveau secondaire de l’Outaouais. Le grand public y trouvera également une source d’information à la fois concise et captivante. Vous découvrirez un site riche en informations et abondamment illustré de documents d’archives photographiques et multimédia. Le contenu des 58 capsules a été soigneusement élaboré afin de s’intégrer à l’intérieur du programme scolaire d’univers social du Québec. La navigation sur le site web, quant à elle, a été pensée pour faciliter la découverte de l’histoire forestière de l’Outaouais. Les enseignants de la région intéressés par l’histoire, la géographie, les mathématiques et le français retrouveront sur ce site du matériel de qualité pouvant être utilisé pour bâtir des activités pédagogiques adaptées à leurs besoins. De plus, la plateforme de partage d’activités leur permettra de télécharger les exercices qu’ils auront créés à partir du site web et de voir celles des autres enseignants. Cette plateforme permettra ainsi de constituer une banque d’activités originales sur l’histoire forestière de l’Outaouais, facilitant les échanges entre enseignants et stimulant leur créativité. Nous vous invitons à plonger dans le temps et à remonter le fil de notre riche passé forestier!
Lien vers ce site mis en ligne vers le début de 2014

lundi 19 mai 2014

Hausse inquiétante des cas de maladie de Lyme

Rivière-du-Loup - Depuis 2009, le nombre de cas de la maladie de Lyme a explosé au pays. Plusieurs secteurs géographiques à risque apparaissent dans toutes les provinces, dont le Québec. Mais qu'est-ce que la maladie de Lyme et que doit-on faire pour se protéger?

Il s'agit d'une infection causée par la morsure de la tique à patte noire. Lors d'une morsure, celle-ci transmet la bactérie Borrelia burgdorferi, d'où l'autre appellation de la maladie: borréliose de Lyme. Les symptômes sont variés et peuvent s'échelonner dans le temps, allant de la fatigue à la fièvre ou aux maux de tête, l'éruption cutanée, allant parfois même jusqu'à des troubles du système nerveux, des palpitations cardiaques ou l'arthrite et même la mort. Ces symptômes peuvent varier d'une personne à l'autre et parfois, peuvent apparaitre plusieurs jours ou semaines après une morsure. Il n'existe pas encore de vaccin pour traiter cette maladie.
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ZONES À RISQUE
Le nombre de zones à risque est en croissance selon l'Agence. Les données recueillies jusqu'à maintenant pour le Québec font état du sud de la province (Montérégie). Toutefois si les tiques ne peuvent pas se déplacer sur de longues distances elles-mêmes, elles peuvent être transportées d'une région à l'autre par les oiseaux.
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SYMPTÔMES
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Lire l'intégral de cet article de Nicolas Ouellet paru le 17 mai 2014 sur le site Infodimanche.com

vendredi 2 mai 2014

Le Nerprun cathartique

On a souvent fait état des dégâts causés par les espèces exotiques envahissantes, on pense à la moule zébrée, à l'agrile du frêne ou à la salicaire pourpre. Portait d'une autre indésirable aujourd'hui. Une plante importée à l'origine pour l'horticulture ornementale et qui est train de causer des dommages sérieux même dans la grande forêt.

Voir le reportage vidéo de la Semaine verte (octobre 2011) sur le site de Radio-Canada

mercredi 30 avril 2014

Pourquoi sommes-nous envahis par le roseau exotique?

Photo: Wiki Commons
Sur le bord des autoroutes, il est partout : le roseau exotique ou Phragmites australis a envahi le sud du Québec via le réseau routier! « Le problème, c’est qu’il prend la place de toutes les autres plantes », explique Sylvie de Blois, chercheuse et membre du groupe interuniversitaire Phragmite. Jusqu’à maintenant, personne ne comprenait comment cette graminée venue d’Europe avait pu se propager si vite chez nous. Normalement, ses graines ne seraient pas viables dans un climat froid comme le nôtre. Pour éclaircir le mystère, l’équipe a mené une véritable enquête génétique sur les bords de routes, entre Montréal et Rivière-du-Loup. La grande diversité des gènes observée a renversé les chercheurs. Pour eux, pas de doute : le roseau exotique se reproduit de façon sexuée ici, c’est-à-dire par graines. Serait-ce à cause de nos étés plus longs et des changements climatiques? C’est du moins ce que croient les chercheurs…


Voir le reportage de l'émission Le code Chastenay (2011?) sur le site de Télé-Québec

La Phragmite exotique, une plante envahissante répandue au Québec

Le phragmite exotique Phragmites australis (Roseau commun ou Sagne) est très répandu au Québec. Il s’installe en monoculture dans les milieux perturbés, notamment le long des canaux de drainage qui bordent les routes et sur les rives des plans et cours d’eau. Une fois établi, il remplace complètement la flore naturelle et appauvrit la biodiversité des écosystèmes qu’il colonise. Il domine alors complètement l’espace.

Comment reconnaître le phragmite exotique?



Phragmite exotique
Source Wikipédia
Il est facile à identifier, particulièrement lorsqu’il est en fleurs aux mois d’août et de septembre. Il s’agit d’une plante vivace (graminée), pouvant mesurer jusqu’à 4 mètres. Son inflorescence est en forme de panicules touffues. Sa tige, plutôt beige, cannelée et rigide, demeure attachée l’hiver.

Pour plus d'information, consulter le site de la Ville de Québec 

Pour plus d'information, consulter le site du groupe de recherche Phragmites de l'Université Laval

Sauver l'ail des bois à la Semaine verte du 26 avril 2014

Trop prisé par les gastronomes, l'ail des bois fait l'objet de programmes de protection un peu partout au Canada. 

Depuis près de vingt ans, le Québec tente de protéger l'ail des bois Allium triccocum (Oignon sauvage, Ail trilobé ou Poireau sauvage), une plante qui se développe très lentement et qui est menacée à la fois par la perte d'habitat et l'appétit des cueilleurs. Heureusement, certains se préoccupent non seulement de freiner son déclin, mais aussi de reconstituer l'espèce.
Voir le reportage vidéo de la Semaine verte du 26 avril 2014 sur le site de Ici.radio-canada

La renouée du Japon: Une plante envahissante au Québec

Fallopia japonica, la renouée japonaise, ou renouée du Japon, aussi surnommée «bambou», est une espèce exotique envahissante et particulièrement coriace. Elle compte parmi les 100 plantes les plus nocives. On en retrouve dans le coteau Sainte-Geneviève, la falaise qui longe l'Îlot des Tanneurs.

Avec l'appui de la Ville de Québec, Verdir et Divertir entreprend des actions pour combattre la renouée japonaise. Les flèches sur la carte ci-contre montrent l’emplacement des trois colonies de renouée connues dans le coteau Sainte-Geneviève attenant à l’Îlot des Tanneurs. Le plan d'actions de Verdir et Divertir inclut des coupes répétées et un remplacement par des arbustes indigènes.

Lire cet article sur le blog Verdir et divertir


Visionner le reportage de la Semaine verte du 16 octobre 2010
Attention: l'extrait concernant la renouée du Japon se trouve de 44:44 min à 50:50 min


La renouée japonaise menace les berges du fleuve St-Laurent

Crédit photo: Archives Agence QMI

Une plante japonaise menace les berges du fleuve Saint-Laurent à Montréal.
Fallopia japonica, la renouée japonaise, l'une des 100 plantes les plus envahissantes au monde, fait des ravages le long des berges du fleuve Saint-Laurent à Montréal, empêchant le développement d'autres végétaux, rapportent des scientifiques.
Cette plante prend énormément d'expansion à Montréal, a indiqué Valérie Aubin, biologiste et chargée de projet du comité Zip Jacques-Cartier, organisme qui œuvre dans la restauration et la réhabilitation du fleuve Saint-Laurent.
«La renouée japonaise est en train de prendre le dessus sur nos espèces indigènes, s'inquiète Mme Aubin. Partout où elle s'installe, il n'y a plus rien d'autre qui pousse. Les berges du fleuve Saint-Laurent sont très affectées par cette plante.»...


Lire la suite de cet article de Simon Dessureault paru le 18 avril 2014 sur le site de TVA Nouvelles

Claude Lavoie et la Berce du Caucase à La Semaine Verte

Vous pouvez visionner en cliquant sur l’hyperlien un reportage sur la situation de la Berce du Caucase Heracleum mantegazzianum (une plante exotique toxique qui cause des brûlures du second degré) au Québec. Le reportage a été diffusé les 2 et 3 novembre 2013 à l’émission La Semaine Verte, sur Ici Radio-Canada. Claude Lavoie y présente la plante, son écologie et ses dangers potentiels.
Visionnez le reportage de la Semaine verte du 2 novembre 2013 sur le site de Ici.radio-canada

mercredi 2 avril 2014

Dénonciation du coup d'éclat de Greenpeace

QUÉBEC, le 18 mars 2014 - Selon plusieurs intervenants liés à la forêt québécoise, l'action menée par Greenpeace, ce matin, à l'endroit d'une entreprise forestière, dévalorise les efforts consacrés par le gouvernement, l'industrie et l'ensemble des acteurs du secteur forestier, au cours des vingt dernières années, pour innover et améliorer continuellement les pratiques forestières durables, en vigueur au Québec.

« Notre industrie s'est engagée clairement envers l'utilisation responsable d'une ressource renouvelable et grandement disponible sur notre territoire. La collaboration entre nos entreprises, des groupes écologistes et des nations autochtones est d'ailleurs souvent citée en exemple », souligne M. André Tremblay, président-directeur général du Conseil de l'industrie forestière du Québec (CIFQ).

Bien que les pratiques forestières ne bénéficient pas de la même attention que celle accordée ce matin aux militants écologistes, elles n'en demeurent pas moins remarquables. À titre d'exemples, soulignons :
- que l'industrie forestière n'intervient que sur 36 % du territoire de la forêt boréale continue;
- qu'en 2014 près de 90 % des forêts publiques québécoises font l'objet d'une certification environnementale indépendante;
- qu'au Québec, les activités d'aménagement affectent annuellement moins de 1 % de la forêt publique sous aménagement, soit moins que l'accroissement annuel.

« Face à ces constats, comment peut-on prétendre qu'il existe un déséquilibre entre la protection de la forêt et l'activité industrielle forestière ? Il est déplorable que Greenpeace s'appuie sur des pratiques du passé pour dénoncer l'un des secteurs ayant fait le plus d'efforts au plan environnemental au cours des vingt dernières années », s'interroge le président-directeur général du CIFQ...

Lire l'intégral de ce communiqué émis le 18 mars par le Conseil de l'industrie forestière du Québec.

mardi 25 mars 2014

Un premier test pour le nouveau régime forestier

Photo: RéseauZec

Une injonction de la Cour Supérieure a créé des remous dans la région des Laurentides, le 31 janvier dernier. La décision de la juge Claudine Roy a eu pour conséquence de suspendre tout projet de coupe forestière au mont Kaaikop, situé à quelques kilomètres du Mont-Tremblant. Un jugement qui pourrait avoir quelques répercussions sur les zecs.
La suspension des autorisations de récoltes sur le mont Kaaikop s’est faite, entre autres, en raison du manque de concertation entre le ministère des Ressources naturelles (MRN), le ministère du Développement durable, de l’Environnement, de la Faune et des Parcs (MDDEFP), les entreprises forestières et la demanderesse, la municipalité de Sainte-Lucie-des-Laurentides.
En ce sens, la juge a reproché le caractère « sibyllin », ou difficile à comprendre, des démarches de consultation du système forestier. Le processus n’aurait pas été clair ou ne semblait pas conforme aux dispositions de la loi. La juge Claudine Roy parle même de cartes « illisibles » et à quel point il est difficile de s’y retrouver. « Un citoyen s’y perdrait à moins », conclut-elle....

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Un écho aux 63 zecs de la province

Une décision qui fait écho aux 63 zecs de la province. Les zecs doivent souvent composer avec des coupes forestières. À quelques exceptions près, elles sont souhaitées par les organismes gestionnaires de zecs. Les coupes forestières s’effectuent la plupart du temps dans les règles de l’art. Elles procurent même certains avantages vis-à-vis l’accès au territoire.
Catherine Tremblay-S., ingénieure forestière au Regroupement régional de la Capitale-Nationale et Sébastien Sirard, ingénieur forestier à Zecs Québec, abondent dans le même sens que la juge. Les deux trouvent que le processus est compliqué à comprendre et qu’il pourrait être simplifié.
Les zecs sont gérées par des bénévoles qui sont des citoyens au même titre que les résidents de la municipalité de Sainte-Lucie-des-Laurentides. Même s’ils sont appuyés par des professionnels en foresterie, il reste encore difficile de s’y retrouver et de prendre des décisions éclairées.
Lire l'intégral de cet article d'Audrey Painchaud paru le 24 mars dans Réseau Zec Nouvelles

jeudi 22 août 2013

Nouveau régime forestier: des travailleurs acceptent une baisse salariale pour conserver leur emploi

Photo : iStockphoto


Le nouveau régime forestier a des conséquences inattendues dans le secteur de la sylviculture. Plus d'une quarantaine de travailleurs du Groupement forestier de Kamouraska ont dû accepter une baisse salariale d'au moins 25 % pour permettre à l'entreprise d'obtenir de nouveaux contrats de sylviculture.

Le nouveau régime forestier oblige la mise aux enchères de 10 % des travaux. Dernièrement, une entreprise du Saguenay Lac St-Jean a obtenu un contrat avec une soumission 35 % inférieure à ce qui se fait habituellement Pour faire face à cette concurrence, les travailleurs se sont retrouvés devant une situation exceptionnelle : accepter une baisse de salaire hebdomadaire de 150 à 200 $ ou rester sans travail et ne pas avoir accès à des prestations d'assurance-emploi:
« C'est un recul majeur, c'est un recul majeur, répète le président du Syndicat national de la sylviculture, René Martel. Le syndicat national de la sylviculture existe depuis l'an 2000. C'est la première fois que ça nous arrive. »

Le Groupement forestier de Kamouraska a pu obtenir deux autres contrats, mais à perte. Cette situation est insoutenable selon le directeur général, Gérald Landry. « Une entreprise, ça peut pas accepter des reculs comme ça très souvent parce qu'elle ne sera plus en affaire l'année d'ensuite, soutient M. Landry. Là, on l'a fait pour soutenir nos travailleurs qui, le 30 août, n'avaient plus d'emplois chez-nous. »

Toute cette situation crée beaucoup d'inquiétudes parmi les travailleurs. « Ces travailleurs-là sont complétement désemparés », soutient René Martel. Gérald Landry aimerait au moins que la mise aux enchères se fasse en début de saison afin de garantir une saison normale au nombre de travailleurs requis. Le syndicat espère mobiliser ses membres cet automne pour forcer le gouvernement à revenir sur cette mesure.
Lire cet article paru le 16 août 2013 sur le site de Radio-Canada

samedi 11 mai 2013

Technologues forestiers recherchés chez:
LBPROFOR INC.

LBprofor Inc offre ses des services professionnels en gestion forestière. La vision de l'entreprise est essentiellement basée sur l'aménagement durable soit, l'équilibre entre les aspects environnementaux, sociaux et économiques. Nous sommes à la recherche de technologues forestiers pour travailler dans divers régions du Québec. Si vous êtes intéressé à faire partie de l'équipe, envoyez votre CV à


Antoine Larochelle Benoit
LBPROFOR INC
(418) 812-4582
www.LBPROFOR.com
 

mercredi 27 mars 2013

Foresterie: l'emploi reprend et les besoins sont grands


Photo: Carl Thériault, collaboration spéciale L'industrie forestière du Bas-Saint-Laurent.

Depuis des années, on entend parler de pertes d'emploi dans l'industrie forestière. Or, les employeurs sont maintenant à la recherche de main-d'oeuvre qualifiée. Les personnes visées: les nouveaux arrivants, les autochtones et les femmes.

L'Association des produits forestiers du Canada (APFC) estime que l'industrie forestière et papetière aura besoin d'embaucher 60 000 travailleurs d'ici à 2020 pour combler les besoins. « Le Québec représente le tiers des emplois dans le domaine au Canada, on parle donc d'environ 20 000 postes », indique Robert Larocque, directeur, environnement, pour l'APFC. Au Comité sectoriel de main-d'oeuvre en aménagement forestier (CSMOAF), on constate que le recrutement est déjà difficile pour dénicher des techniciens forestiers. « Il y a eu une importante baisse du nombre d'inscriptions dans le programme et les finissants ne suffisent pas à la demande », affirme Annie Beaupré, ingénieure forestière et directrice générale du CSMOAF...
Lire l'article intégral de Martine Letarte paru le 11 février 2013sur lapresse.ca

mardi 26 mars 2013

Le bois d'ingénierie
Reportage de l'émission «Découverte»
3 mars 2013


Après l'Europe, le Québec s'apprête à prendre un « virage vert » dans la construction d'édifices, un virage en grande partie dû aux progrès du bois dit d'ingénierie. Les techniques modernes de bois lamellé-collé permettent désormais de travailler avec les petites épinettes de la forêt boréale et de construire de grands édifices avec des pièces massives faites sur mesure. Par ailleurs, la réglementation va changer. Le 31 octobre dernier, la première ministre du Québec a annoncé qu'elle demandera à la Régie du bâtiment de permettre la construction de bâtiments en bois de plus de six étages. À la veille de ce changement majeur, un reportage sur les techniques et les défis de la construction d'édifices commerciaux et industriels en bois. Un reportage de Jean-Pierre Rogel et de Louis Faure.

Voir le reportage du 3 mars 2013 diffusé sur le site de Radio-Canada

jeudi 14 mars 2013

Comment faire pousser une planète (3 épisodes)


Les plantes sont une puissance silencieuse qui a façonné la Terre, en créant notre atmosphère et stimulant l'évolution de tous les animaux, y compris nous-mêmes. Cette série fascinante propose une toute nouvelle perspective quant à l'histoire de notre planète. On pourrait penser que les humains sont les êtres les plus puissants de la Terre, mais en réalité, ce sont les plantes qui constituent la force dominante de l'évolution. Une série de trois épisodes.

Premier épisode: «La lumière source de vie» (3 février 2013)
Ce premier épisode examine la façon dont les plantes ont créé le monde. Une équipe de botanistes, chasseurs de plantes et scientifiques traquent les plantes dont les ancêtres ont généré les transformations les plus fondamentales de l'histoire de la Terre. Production : BBC Producteur de la série : Andrew Thompson Réalisatrice à l'adaptation : Chantal Théorêt et Kristina Von Hlatky

Visionner le premier épisode (diffusé le 3 février 2013) sur le site de Radio-Canada.
 

Deuxième épisode: «La force des fleurs» (10 février 2013)
Cet épisode révèle l'importance insoupçonnée des fleurs. Il relate comment elles ont fait le don miraculeux de la couleur à une planète terne et monochrome. Ce document explore aussi le pouvoir des graines et dévoile pourquoi, lorsque les dinosaures ont disparu, ce sont les plantes à fleurs qui ont hérité de la Terre.

Visionnez le deuxième épisode (diffusé le 10 février 2013) sur le site de Radio-Canada

Troisième épisode : Le compétiteur.
Le dernier épisode s'intéresse à la plante la plus puissante de l'histoire de la Terre : l'herbe. Elle est devenue la productrice d'oxygène la plus efficace de la planète. Elle a aussi transformé les terres en un brasier infernal – et a contribué à enrichir les océans de vie. Production : BBC Producteur de la série : Andrew Thompson Réalisatrice à l'adaptation : Chantal Théorêt et Kristina Von Hlatky

Visionnez le troisième épisode (diffusé le 17 février 2013) sur le site de Radio-Canada