Pour Alain Riel, cette nouvelle étude réalisée par la firme Aménatech de Sherbrooke vient confirmer la « valeur exceptionnelle » de la forêt Boucher, qui s'étend sur 700 acres dans le secteur Aylmer.
ARCHIVES, LeDroit
La conseiller Alain Riel a enfin en main ce qu'il souhaitait pour faire reconnaître l'importance de la forêt Boucher. Une étude vient d'évaluer à 6 millions $ par année la valeur plausible des biens et services environnementaux du site.
Pour M. Riel, cette nouvelle étude réalisée par la firme Aménatech de Sherbrooke vient confirmer la « valeur exceptionnelle » de la forêt Boucher, qui s'étend sur 700 acres dans le secteur Aylmer.
Le biologiste Éric Olivier, dans sa présentation de l'étude, a souligné que cet espace vert représente le « dernier grand refuge pour la faune dans le secteur Aylmer ».
Certaines menaces à la préservation de l'écosystème sont cependant présentes, qu'il s'agisse de pistes informelles de véhicules tout-terrain ou de vélo de montagne, d'espèces végétales envahissantes, des feux de camp ou des pressions qui se font sentir pour du développement immobilier.
Révélant une valeur écologique « très élevée » atteignant 81 sur une échelle de 100, l'étude dévoilée hier « devient un outil additionnel d'aide à la décision pour le conseil municipal », affirme M. Riel.
La Ville de Gatineau est aujourd'hui propriétaire d'un peu plus de 50 % des terrains de la forêt Boucher. Alain Riel et ses confrères du secteur Aylmer, Stéfan Psenak et André Laframboise, rêvent du jour où le terrain sera en totalité une propriété municipale. « La force de la forêt Boucher, c'est son ensemble », précise M. Riel.
Des négociations sont en cours avec les quatre propriétaires des terrains toujours convoités. La Fondation de la forêt Boucher ignore toujours à quel moment et à quel prix le transfert de propriété serait fait. « J'ai toujours dit que c'était un projet de vie », a mentionné Alain Riel.
Les propriétaires ont toujours la possibilité, a souligné Stéfan Psenak, de faire un don écologique, ce qui leur permettrait de bénéficier de crédits d'impôt « très intéressants ».
La Fondation de la forêt Boucher souhaite que cet espace vert puisse servir à la fois à des fins de récréation, d'éducation et de conservation. Le biologiste Éric Olivier affirme qu'il est possible de combiner les activités récréatives aux efforts de conservation, en concentrant, par exemple, les activités de loisirs dans des zones définies où l'intérêt écologique est plus faible.
Lire cet article de Justine Mercier paru dans la journal LeDroit le 9 septembre 2010
Le biologiste Éric Olivier, dans sa présentation de l'étude, a souligné que cet espace vert représente le « dernier grand refuge pour la faune dans le secteur Aylmer ».
Certaines menaces à la préservation de l'écosystème sont cependant présentes, qu'il s'agisse de pistes informelles de véhicules tout-terrain ou de vélo de montagne, d'espèces végétales envahissantes, des feux de camp ou des pressions qui se font sentir pour du développement immobilier.
Révélant une valeur écologique « très élevée » atteignant 81 sur une échelle de 100, l'étude dévoilée hier « devient un outil additionnel d'aide à la décision pour le conseil municipal », affirme M. Riel.
La Ville de Gatineau est aujourd'hui propriétaire d'un peu plus de 50 % des terrains de la forêt Boucher. Alain Riel et ses confrères du secteur Aylmer, Stéfan Psenak et André Laframboise, rêvent du jour où le terrain sera en totalité une propriété municipale. « La force de la forêt Boucher, c'est son ensemble », précise M. Riel.
Des négociations sont en cours avec les quatre propriétaires des terrains toujours convoités. La Fondation de la forêt Boucher ignore toujours à quel moment et à quel prix le transfert de propriété serait fait. « J'ai toujours dit que c'était un projet de vie », a mentionné Alain Riel.
Les propriétaires ont toujours la possibilité, a souligné Stéfan Psenak, de faire un don écologique, ce qui leur permettrait de bénéficier de crédits d'impôt « très intéressants ».
La Fondation de la forêt Boucher souhaite que cet espace vert puisse servir à la fois à des fins de récréation, d'éducation et de conservation. Le biologiste Éric Olivier affirme qu'il est possible de combiner les activités récréatives aux efforts de conservation, en concentrant, par exemple, les activités de loisirs dans des zones définies où l'intérêt écologique est plus faible.
Lire cet article de Justine Mercier paru dans la journal LeDroit le 9 septembre 2010