Au fil de sa carrière, André Tremblay a, entre autres, négocié des conventions collectives et travaillé dans le domaine de l'arbitrage. Il remplace le coloré politicien Guy Chevrette à la tête du CIFQ.
Photo: Le Soleil, Patrice Laroche
...Le problème n'est pas tant l'avenir de l'industrie forestière que l'image qu'elle projette, a soulevé André Tremblay. «Il faut comprendre que nous allons avoir un moyen problème, tout à l'heure, un problème de main-d'oeuvre.
«Non seulement nous faisons face au problème des baby-boomers qui partent à la retraite, mais nous faisons face à la perception [par les jeunes] qu'il n'y a plus d'avenir dans les forêts. Ce qui fait qu'il n'y a plus d'étudiants en génie forestier, en techniques forestières.
«Les dirigeants de cégep s'arrachent les cheveux», faute de candidats, malgré un «taux de placement de 100 %. Depuis quatre ou cinq ans, on ne forme plus de monde. Nous avons un très sérieux problème. C'est là que le bât blesse. Parce que ce n'est pas une industrie qui est has been, mais qui est prometteuse d'avenir.»...
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