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jeudi 20 décembre 2012

La technologie forestière au Cégep de Sainte-Foy



Le programme Technologie forestière du Cégep de Sainte-Foy compte 10 professeurs et 3 techniciens en travaux pratiques qui offrent à plus d'une centaine d'étudiants présentement inscrits à ce programme de profiter d'une formation concrète comprenant plus de 60 sorties sur le terrain et menant à des carrières stimulantes en aménagement de la forêt.

Inscrivez-vous à l'activité «Étudiant d'un jour» (journée terrain ou journée théorique)ou venez visiter le Département de technologies du bois et de la forêt lors de la soirée «Portes ouvertes du Cégep de Saine-Foy» le 28 janvier 2013.

samedi 15 décembre 2012


Rangée du haut : Olivier Charbonneau, Gabriel Trahan, Guillaume Lanthier, Maxime Lusignan, Louis Villeneuve, Thierry Leblanc-Fontaine, Martin Dupuis. Rangée du bas : Audrey Roy, Michael-William Cagelet, Maxwell Bouchard
Photo: courtoisie
Un groupe de finissants du programme Technologie forestière du Cégep de Sainte-Foy réaliseront un stage d’étude en France en juin prochain. Ce projet est un stage de formation technique qui comportera des activités touchant un grand nombre de sphères de la foresterie française, soit de la composition des écosystèmes forestiers jusqu’à la transformation des arbres qui les constituent, en passant par la sylviculture, les opérations de récolte et les utilisations multi ressources de la forêt.
Il s’agit d’un complément à la formation suivie au Québec qui permettra l’acquisition de nouvelles connaissances forestières dans un contexte international. Les étudiants sont présentement en campagne de financement et invitent toutes les personnes ou entreprises intéressées à les aider à communiquer avec M. MARTIN DUPUIS, professeur, par téléphone au 418-659-6600 poste 6813 ou par courriel à mdupuis@cegep-ste-foy. qc.ca. Des reçus d’impôt seront émis pour tous les dons et des opportunités de visibilité seront proposées.
Lire cet article paru le 12 décembre dans Le monde forestier

mardi 11 décembre 2012

Nouveau régime forestier : on craint une désyndicalisation

Un travailleur forestier (Photo: archives de Radio-Canada)

La FTQ et le Syndicat canadien des communications, de l'énergie et du papier (SCEP) craignent que le tiers des emplois forestiers soient désyndicalisés avec l'entrée en vigueur du nouveau régime forestier en avril 2013.
« Les entreprises mettent à pied leurs entrepreneurs et les employés qui travaillent pour ces entrepreneurs pour leur demander de soumissionner pour acheter des lots de bois, et elles leur rachètent ce bois coupé par la suite », explique le vice-président du SCEP, Renaud Gagné. « Ça va carrément éliminer les conditions de travail, les régimes de retraite, les régimes d'assurance, donc ça va être l'équivalent de la sous-traitance à très bas prix », ajoute-t-il.

Le directeur général de la Fédération des coopératives forestières du Québec, Jocelyn Lessard, abonde dans le même sens : « Il va y avoir une moins grande efficacité, les coûts de production vont être plus élevés, car c'est le ministère qui va faire la planification, et le système de libre marché va faire augmenter les redevances. Si les redevances augmentent, c'est un coup direct à l'usine, et si elle ne vend pas son bois plus cher, elle va mettre de la pression sur celui qui le coupe. »
Lire cet article paru le 8 novembre 2012 sur le site de Radio-Canada

dimanche 9 décembre 2012

Caribou forestier : des milliers d'emplois seraient menacés par le nouveau plan de rétablissement


Le troupeau de caribous forestiers de Val-d'Or (archives)
Photo : Action boréale de l'Abitibi-Témiscamingue


Le futur plan de rétablissement du caribou forestier dans trois régions du Québec pourrait entraîner la perte de 9 000 emplois, dont plus de 3 000 au Saguenay-Lac-Saint-Jean.

C'est l'évaluation qu'en fait le ministère des Ressources naturelles dans un document dont le journal Le Quotidien a pu prendre connaissance. Le journal rapporte que cette nouvelle stratégie pourrait aussi signifier une réduction de l'activité économique de 200 millions de dollars.
La réintégration du caribou soustrairait plus de trois millions de mètres cubes de résineux de la coupe forestière. Le cervidé est considéré comme une espèce menacée par Ottawa et pour lui permettre de survivre, il doit évoluer dans une forêt où le niveau maximum de perturbation ne doit pas dépasser 35 % de la superficie.
Le député de Roberval, Denis Trottier, a refusé de commenter la nouvelle. Il affirme ne pas avoir pris connaissance du rapport, tout comme sa collègue ministre des Ressources naturelles.

Lire cet article paru le 1er décembre 2012 sur le site de Radio-Canada

samedi 8 décembre 2012

Le salon de la forêt 2013


Site internet: Histoire forestière de l'Abitibi-Témiscamingue

Découvrez cet outil éducatif pour le grand public de l'Association forestière de l'Abitibi-Témiscamingue (AFAT): le site internet Histoire forestière de l'Abitibi-Témiscamingue.

Ce site, accessible au www.histoireforestiereat.com, met à la disposition de tous, et en particulier les jeunes, un portrait assez complet de l'histoire forestière de la région. On y suit le fil du temps pour découvrir comment la foresterie a modelé la région depuis 1793...

Site évolutif
Le site web comporte pour le moment l'équivalent de 150 pages de textes, en plus des cartes, extraits sonores, photos, animations, etc.

Lire tout l'article de Martin Guindon paru le 21 novembre 2011 sur le site de abitibiexpress.ca

mardi 4 décembre 2012

Produits forestiers non ligneux: le Centre-du-Québec se lance dans l'aventure

PHOTO: MARC ROCHETTE
Dans l'ordre habituel, on retrouve Sylvain Labrecque, préfet de la MRC de l'Érable, Pierre Gaudet, président de la Commission régionale des ressources naturelles et du territoire de la Conférence régionale des élus (CRÉ) du Centre-du-Québec, Gilles Marchand, vice-président du SPBCQ, et Luc Couture, directeur régional du MAPAQ.

(Bécancour) Grâce à l'implication financière de 13 partenaires dont les MRC, les CLD, la CRÉ et le ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation, le Centre-du-Québec se lance dans le développement de la filière des produits forestiers non ligneux (PFNL). Et la somme de 160 000 dollars permettra au Syndicat des producteurs de bois de la région d'en déterminer le potentiel économique.

Au cours des cinq dernières années, plusieurs approches novatrices ont été développées dans le domaine des PFNL et de l'agroforesterie et ce, dans le but de diversifier les possibilités de mise en valeur des forêts privées centricoises. Le projet est à trois volets: connaître les ressources humaines qui sont présentement actives dans ce secteur au Centre-du-Québec, réaliser l'inventaire terrain de la ressource afin d'établir le potentiel économique de 31 plantes et arbres sélectionnés sur le territoire de la forêt privée et publique centricoise et établir les modes de mise en marché de cette ressource.

«Le projet est déjà bien en route et se terminera au printemps 2013», a-t-on annoncé hier en conférence de presse. Quant aux PFNL, ils se divisent en quatre principales catégories de produits: alimentaires (champignons sauvages comestibles, petits fruits), produits de santé naturels (composé actif d'une plante utilisé dans l'industrie pharmaceutique ou des cosmétiques), aromatiques (huile essentielle) et d'horticulture (sapin de Noël, cocotte).

Ce secteur économique d'importance dans l'Ouest canadien et en Ontario est de plus en plus connu au Québec et plusieurs régions avancent rapidement dans le développement d'alternatives provenant du milieu forestier. La région du Centre-du-Québec s'inscrit dans cette même démarche afin d'occuper sa place de leader en matière de développement de l'économie forestière.

Selon le Syndicat des producteurs de bois du Centre-du-Québec (SPBCQ), cette initiative confirme que les propriétaires de forêts privées ont toujours été des intervenants de premier ordre dans l'aménagement des forêts de la région.

Lire cet article de Marc Rochette paru le 28 novembre 2012 dans Le Nouveliste

dimanche 2 décembre 2012

Le Cégep de Baie-Comeau sort le grand jeu pour attirer les étudiants

...Curieusement, les emplois ne manquent pas dans les domaines liés à la technologie forestière. Il y a même pénurie de main-d'oeuvre, mais la longue crise qui a frappé le secteur forestier a laissé croire le contraire...

Photo: Ivanoh Demers, archives La Presse
(Baie-Comeau) Le Cégep de Baie-Comeau déplie les billets verts afin d'attirer de nouveaux étudiants. Des incitatifs tout de même assez intéressants seront proposés à partir de la session d'automne 2013 selon les programmes choisis et la région de provenance de l'étudiant.

Suspendu depuis quatre ans faute d'inscription, le Cégep veut relancer son programme de technologie forestière en proposant à tout étudiant qui s'inscrira une bourse de 1000 $ par année durant les trois ans du programme, un ordinateur portable et un GPS. Une campagne publicitaire sera menée dans l'ensemble du Québec pour vanter les particularités de la formation offerte à Baie-Comeau... ...L'institution devra aussi embaucher du personnel, puisqu'il ne reste qu'un seul professeur dans l'équipe de technologie forestière d'il y a quatre ans... 

Lire l'intégral de cet article de Steve Paradis paru le 1er décembre 2012 dans  le Soleil  

Note au lecteur de ce blog: Ce ne sont pas tous les cégeps qui vivent une situation aussi dramatique en terme de clientèle en foresterie. Par exemple, le Cégep de Sainte-Foy compte 10 professeurs, 3 techniciens en travaux pratiques et une apparitrice qui permettent de dispense une formation de qualité à plus d'une centaine d'étudiants inscrits au programme de Technologie forestière en 2012-2013. Toujours à Sainte-Foy, les demandes d'admission sont en progression pour la 3e année consécutive.